Firemagma Plume de Feu
Messages : 118 Date d'inscription : 09/01/2015 Age : 35 Localisation : Enfers
| Sujet: Les entrailles de mon expression, de Hypneige, commentaire Lun 26 Jan 2015 - 19:33 | |
| Les entrailles de mon expressionBon il était temps de te faire une petite zone commentaires pour cette série de poème =) Dans un premier temps, je trouve ça assez sympa, comme ça me donne l'impression de voir un recueil de poème, style les fleurs du mal. Et je pense que c'est l'idée. Après le seul soucis, je trouve, est que tu aurais dû faire un post par poème en faite. Et les poster tour par tour. Ca ferais un peu moins chargé que sur un seul poste. Tu peux toujours les séparer toute façon =). Après si tu en as d'autre, c'est un conseil que je te donne =). Sinon en conseil en lui même, comme pour tsunami terrible, j'ai pas de conseil vraiment "technique" à donner malheureusement =/. Mais j'ai quand même hâte de te relire à l'occasion =) | |
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Vano Vaemone Plume Chevronnée
Messages : 151 Date d'inscription : 18/01/2015 Age : 32 Localisation : Chez mes ptits monstres <:
| Sujet: Re: Les entrailles de mon expression, de Hypneige, commentaire Mar 27 Jan 2015 - 22:31 | |
| *jette une petite boule de glace sur Fire pour corriger sur "Hyneige"*
1. Du hasard et du chaos. : avec cet air d'inconscience et de désordre, quelque chose me dit que de cette curiosité naîtra une chose bien plus mauvaise. C'est du moins l'impression que donne la dernière strophe, ça crée un bon (dans le sens où il est bien fait) sentiment de malaise.
2. Être ou ne pas être. : une impression de vide au départ où s'éveille la création, le tout est bien décrit dans la réalité. Attention dans "Dans les fenêtre givrées de poussière.", fenêtre doit être au pluriel.
3. Le fil des âges. : "Les fragiles traces de mes antan." Le problème de ce mot est qu'on ne connaît pas le pluriel, sinon on emploie l'expression d'antan. Je me perds un peu sur le sens de ce poème, est-ce qu'il évoque en particulier l'âge de l'amour ou cache-t-il un autre âge ?
4. Le bien et le mal. : Bien que le mal soit évoqué au début, il ne semble pas si présent. Je m'attendais à un équilibre (sur le mal aux deux premières strophes et le bien sur les deux dernières), où auréole le casse justement dans la deuxième strophe. Le bien est plus présent.
5. La toile pénétrée. : "Qui y réveillent toute nos douleurs." Le toute qui s'accorde avec nos et douleurs. "Kadinsky navigue l'océan noir" Kandinsky, non ? "La vierge de Marx Ernst lève la main" Attention, le peintre (et non l'historien Marx) n'a pas de r dans son prénom.
6. Le goût de l'écrit. : "Il y a à secouer des temps et des siècles Qui nous ont momifiés sous tant de règles" Les rimes ne correspondent pas (en même temps j'avoue que c'est difficile de donner une rime à siècle, tu n'as pas choisi le mot le plus simple xD)
7. Du culte et de la piété. : "La bête blotti au cerveau qui ronge" Blottie. J'avoue qu'en lisant les deux dernières strophes, il y a quand même un sentiment d'impuissance qui ressort, c'est flippant o_o"
8. Des clics et des pixels. : la répétition de fleur peut être variée.
9. De moi à l'autre. : "Expression pour l'autre et son savoir faire" le savoir-faire a un tiret. "Des balbutiements au plus grands chefs d'œuvre." aux.
10. De folie en déraison. : Quand j'ai essayé d'imaginer... j'ai trouvé cela glauque et physiquement pas joli x_x mais tout cela est bien décrit
11. Les masques du réel. : "Pour les serpents de mort de Le Greco." El Greco ?
12. Les proies de Dieu. : "Par la grande vague à Kanagawa Nous purifier de Caïn qui tua." Je comprends pas trop ce rapprochement entre un personnage biblique et cette oeuvre japonaise o_ô"
13. L'Arbre de Vie. : J'aime bien, un étrange mélange entre pureté et... impureté disons xD
14. Le chant de la Mort. : un joli champ lexical sur la mort et belle utilisation de la strophe répétée x)
Dans l'ensemble, j'ai vu que tu maintiens le même mètre (décasyllabes), ça donne du coup une lecture ni trop courte ni trop longue, c'est bien fait x) même défaut que le tsunami, ce changement de rimes embrassées ou croisées, personnellement il vaudrait mieux garder un rythme commun (sauf si on utilise une forme poétique précise qui change forcément le rythme) | |
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